Calle du bateau

Gibbs avait descendu l'étroit escalier de bois et s'était retrouvé seul dans la calle. L'endroit était humide et lugubre avec une forte odeur de moisis. Il y avait en effet de gros barrils, mais Gibbs savait que ce n'était sûrement pas du rhum...ça ne sentait pas le rhum. Il vit un petit banc de bois grossièrement taillé. Il s'y assit et sortit sa gourde. Tout en buvant une gorgée, il pensait. De quoi était rempli tous ses toneaux si ce n'est pas du rhum? Comment Barbossa était-il sorti de la cité des eaux?, car c'était sûrement là qu'il était avant. Où est le Capitaine, son ami? Qu'est-ce qu'ils vont devenir sous les ordres de cet infâme fourbe d'Hector?
Finalement, il en vint à la conclusion que c'étaient toutes des questions insolvalbles et...

*Déjà que ça porte malheur d'avoir une femme sur le bateau, en plus on en a...3!!! Pire encore, ce bateau ne doit pas avoir de nom...ÇA PORTE MALHEUR D'ÊTRE SUR UN BATEAU QUI NE PORTE PAS DE NOM!!! Vraiment, j'aurais peut-être dû rester matelot à Port Royal...*

Il y repensa un moment:

*Non, finalement, j'ai bien fait de quitter Port Royal.*

Il continua de se parler à lui-même, complètement perdu dans ses pensées.

Elle descendit en bas elle ne vit pas gibbs lorsqu'elle arriva. Elle alla voir s'il y avait du rome, mais il ny en avait pas. Elle fit beaucoup de bruitr en rageant et donnant des coups de pieds sur un baril vide.

Jack arriva silencieusement dans la calle sans que personne ne l'entende. Laura était assé proche de Guibbs et il y avvait un "jet" de lumière de la pleine lune juste en face de Guibbs.

*hihihihihihihihihi*

Il alla devant et ca avait l'air de ca:(HJ:attention aux coeurs sensibles)

Avant que Jack ne se pointe, Gibbs sortit de ses pensées en entendant tout le vacarme que faisait Laura. D'un ton grognon, ne sachant qui faisait autant de bruit, il répliqua:

-Hé ho, il y a du monde ici qui essait de penser!!!

C'est à ce moment que le singe zombie arriva. Gibbs, ne s'attendant vraiment pas à ça, lâcha un cri de terreur mélangé à de la surprise et tomba à la renverse de sa chaise. il se cogna lourdement la tête sur un barril. D'habitude, il se serait relever et aurait assassiné Jack, mais là, il restait allongé sur le sol.

-Monsieur gibbs?

elle regarda ce qui se passait et quand elle vit jack elle comprit assé vite.
elle kicka le petit singe qui se cogna contre le fond du bateau.
elle sapprocha de Gibbs.

-ca va aller?

Jack était crampé de rire.

Gibbs resta sur le sol, inconscient. Une légère blessure derrière la tête, là où il s'était cogné.

Voyant qu'il ne repondit pas, elle commenca a salarmer.

-oh non! mais qu'est ce que je vais faire?, dit-elle tout haut.

Elle prit un barit d'eau et lui lanca dans la face. la calle était noir alors elle ne voyait pas la blessure de gibbs.

-Wou hah ahah ahah ahahaha hahahahahah ahaha hahahahahahahaha hahah ah ahahaha hahaha hahahahah ahahahahahahahahahah ahahaha hahaha hahahah ah a haha haaha h ahahahah ahahahaha hahaha haha haha haha hahah......!!!!!!

Will arriva dans la noirceur totale de la cale. En entendant le cri du singe, il se demanda qu'est-ce qui se passait.

-Il y a quelqu'un?dit-il en descendant lentement les escaliers et en se tenant sur le mur à côté.

-Will, c'est toi? Viens maider s'il te plait! Je crois que gibbs ne va vraiment pas bien.

À cette réponse, ils descendit plus rapidement. Lorsqu'il atteint le sol de la calle, il put voir Gibbs, immobile à terre.

Il courut à côté de lui, se mit à genou, prit sa tête entre ses mains et lui dit:

-Gibbs, tu es vivant? Fais-moi signe...

Gibbs commença peu à peu à reprendre conscience grâce à l'eau qu'il avait reçu en plein figure.. Il ouvrit tranquillemant les yeux.

-Non, je suis mort idiot..., répondit-il d'une voix faible.

Il essaya de se rasseoir, mais il était trop étourdi et retomba par en arrière. Il décida alors de s'accoter sur ses coudes.

-Arr, quel mal de crâne! On dirait que j'ai reçu une balle dans la tampe...

Il mit sa main derrière la tête et la retira après avoir grimacé de douleur. Il la regarda et y avait du sang.

Il se retourna vers Will:

-Will, si jamais il m'arrive quelque chose de très grave, veux-tu tuer ce de singe pour moi?, dit-il un peu inquiet de ce qu'Il lui arrivait.

-Oui, dit-il toujours figé sur place.

Il eut soudainement une idée et alla chercher un sceau d'eau.

-Bois-en et recrache-le par après.

Il lui tendit le sceau pour qu'il soit accessible à son ami.

Gibbs ne voyait pas vraiment l'utilité de faire cela, mais il fit ce que Will lui disait. De toute façon, il n'était pas vraiment en état de rouspéter. Il prit une grosse gorgée et le recracha plus loin sur le plancher de bois. Il sourit, car il trouvait ça drôle de cracher sur le bateau de Barbossa. Ça lui remonta un peu le moral. Il répéta le mouvement quelques fois et déposa le sceau sur le sol.

Il essaya d'oublier les «coups de marteau» qui se donnait au même rythme que son coeur battait qu'il ressentait dans sa tête et il ferma les yeux un moment.

-Est-ce que ça va mieux aller? dit il qui avait suivi la scène avec un peu de dégoût.

-Ouais, merci. C'est juste que j'ai pas envie que ce fourbe de capitaine ingras et malhonnête d'Hector, me voit dans cet état, tu comprends? Ça va lui faire un plaisr de me rabaisser et de rire de moi... et j'ai pas vraiment la tête à ça.

Après un court instant de réflexion, il corrigea:

-En fait, j'ai jamais la tête à ça, mais là c'Est encore pire, comme en parlant à lui-même.
Il se retourna ensuite vers Will et lui demanda:

-Qu'est-ce qu'on va faire Will? On peut pas rester avec Barbossa comme capitaine jusqu'à ce que notre âme délaisse notre corps devenu fou...

-...ou juqu'à ce que mort s'en suive, dit-il en voyant l'air interrogateur de Will. Tout est louche. Regarde tous ces barrils dans la cave à rhum...IL N'Y A PAS DE RHUM À L'INTÉRIEUR! Alors pourquoi mettre des barrils sans rhum dans une cave à rhum? parce qu'on veut mettre quelque chose d'autre dedans qu'on veut cacher à son équipage! Tu me suis?

Cotton descendit les marches pour aller dans la cale du bateau avec les autres car lui aussi était écoeuré de Barbossa.

Perroquet : Bonjour les amis! Bonjour les amis!

Il s'assit à côté de Gibbs et le regarda comme s'il voulait lui transmettre ses pensées.Il venait juste d'entendre ce que Gibbs venait de dire.

Perroquet : Dangereux! Dangereux! Capitaine veut du mal à équipage! Capitaine veut du mal à équipage!

-Je suis tout à fait d'accord avec toi mon brave Cotton... et perroquet de Cotton, bien sûr!

Il se massa quelque temps le crâne. Il lui semblait qu'il avait la gueule de bois avec son mal de tête. Il l'avait souvent vécu et les syptômes se ressemblaient énormément...



Soudain, une pensée illumina son esprit douloureux:

-Que diriez-vous de fouiller ce bateau? dit-il, une flamme de malice dans les yeux.

Perroquet : Bonne idée! Bonne idée!

Cotton était également d'accord. Il alla vers le fond et commenca a déplacer quelques affaires.

Will resta figé sur place, regardant les autres fouiller le bateau.

-Mais pourquoi fouiller ce bateau? Qu'est-ce que tu veux trouver?

Cotton ne savait pas pourquoi ils devaient le fouiller mais il avait un intuition qu'il fallait le fouiller. Il chercha dans tous les petits recoins possibles. Il vit alors une petite créature super dégueulasse ressemblant a une larve qui ne se serait pas alvé depuis des mois!

Perroquet : Trouvé! Trouvé! On a trouvé!

Ce que Cotton avait en fait trouvé, c'était une bestiole qui avait été digéré par le kraken mais qui avait été oublié d'enlever avant de revenir sur terre. Cotton se pencha au-dessus et regarda la bestiole avec curiosité.

Perroquet : Venez voir! Venez voir!

Gibbs répondit à Will:

-N'importe quoi qui nous donnerait la possibilité de prouver que Barbossa est coupable de quelque chose.

Gibbs essaya de se relever. Il y parvint difficilement, mais réussi enfin. Quand le perroquet de Cotton dit qu'il avait trouvé quelque chose, Gibbs s'approcha en titubant. Il y jeta un coup d'oeil et fit un air dégoûté.

-Mais c'est que c'est dégeulasse cette chose! s'exclama-t-il. Est-ce que c'est vivant au moins?

Gibbs tenta de le savoir en prenant le sceau d'eau que lui avait tendu Will un peu plus tôt et lança le liquide sur la «cochonnerie». Un cri fort et aigüe à en déchirer les tympans sorti d'une minuscule cavité de la chose, qui devait être sa bouche. Gibbs se couvra les oreilles et hurla à Will et Cotton pour se faire entendre:

-BON SANG, MAIS QU'EST-CE QUE C'EST QUE CETTE MAUVAISE PLAISANTERIE!?

Gibbs regarda rapidement autour de lui pour trouver une solution pour faire terre la bestiole. Il prit un tonneau de rhum qui était vide et le lança sur la bibittes. Les cris cessèrent au moment où le barril percuta la chose gluante. Gibbs retira tranquillement ses mains de sur ses oreilles.

-Non, mais dans quel bateau nous sommes-nous embarquer?